Lorsqu’on est un cycliste, il est important de savoir maîtriser le cyclisme sur route. C’est primordial pour un cycliste de savoir les codes et les règles sur route.
Tout savoir sur le vélo sur route
La première chose à savoir et connaître c’est que, pédaler un vélo demande de la pratique et des entraînements adaptés pour pouvoir progresser de la bonne manière sur route. Il est important de prendre connaissance de chaque évolution que ce soit des fréquences cardiaque, des puissances et des limites physiologiques.
Il faut impérativement se mettre en tête que faire du vélo sur la route est bien plus compliqué que cela en a l’air. On a tendance à croire que lorsqu’on sait faire du vélo on peut en faire sur route. Pédaler un vélo sur une route n’est pas la même chose que faire du vélo tout court. Il existe une unité à franchir pour pouvoir pédaler sur une route. Faire du cyclisme sur une route demande une certaine méthodologie et de la régularité dans le but de progresser de la bonne manière.
Le secret pour pouvoir progresser en vélo sur route c’est d’en pratiquer régulièrement. Il ne faut surtout pas arrêter d’en pratiquer au risque de perdre la main.
Les points qui nécessitent des efforts
Lorsqu’on veut progresser dans le cyclisme sur route, il y a plusieurs points à prendre en compte. Grâce à l’évolution on a pu discerner avec exactitude qu’il y a 7 différents types d’efforts qu’on doit fournir quand on veut faire du vélo sur route.
Toutefois, il est important de savoir que la fréquence cardiaque reste la base. Ce qu’il faut retenir c’est que chaque personne désirant effectuer du cyclisme sur route doit être au top de sa forme. Il est recommandé d’avoir une autorisation d’un médecin généraliste pour pouvoir pratiquer ce sport.
Lorsque vous êtes certain d’avoir les capacités physiques de pratiquer du vélo sur route, il y a maintenant les zones d’intensité à prendre en compte. Il y a d’abord la première intensité qui est catégorisée comme légère. À ce stade, il ne faut surtout pas que vous ressentez des douleurs musculaires. Ensuite, il y a la deuxième zone qui est catégorisée comme moyenne point il s’agit d’un cas de martien d’intensité d’exercices mais on peut ressentir une légère fatigue au bout de 4h.
Puis, il y a l’intensité de niveau 3 qui est catégorisé comme soutenu durant l’exercice. C’est à partir de cette intensité que l’on doit normalement ressentir des douleurs musculaires et on peut sentir une fatigue au bout de 2h. Il y a aussi l’intensité catégorisée comme critique de zone 4 où on ressent facilement des douleurs musculaires au bout de 20 minutes notamment pour les personnes qui ne sont pas entraînées.
On retrouve également l’intensité 5 qui est appelé intensité sur-critique destiné aux personnes ayant des capacités d’aérobie. Lorsqu’on pratique cette intensité on peut ressentir rapidement des douleurs musculaires au bout de 10 minutes ce qui peut devenir insupportable au fil des secondes. Et l’intensité de zone 6 catégorisé comme sous-max qui est une intensité des personnes qui pratiquent des sprints. On peut ressentir une douleur intense à partir de 30 secondes à une intervalle d’une minute. On ressent la montée d’acide lactique très rapidement et on peut ressentir de la nausée en quelques secondes. Et enfin il y a l’intensité maximale qui entraîne directement une hyperventilation.